Je suis loin d'être comportementaliste, mais lorsque j'avais la pension, les clients abordaient les problèmes rencontrés avec leur chien (ça c'était recta).
Je simplifie au maximum, mais dans la plupart des cas (en fonction), je leur ai conseillé de donner plus d'exercice physique et d'occupations. Et, dans la plupart des cas les choses se sont arrangées.
L'exemple type c'est celui des borders collies et des malinois, véritables machines de travail que l'on garde comme simple chien de compagnie dans un environnement pauvre : ils développent fréquemment des tocs et autres troubles.
Je pense que, comportementalistes ou pas, les gens qui prennent un chien doivent dans un premier temps savoir ce qu'est cet animal et quels sont ses besoins élémentaires : après manger, boire, dormir et déféquer, il y a exercice physique, compagnie etc... La sélection a tout mis en œuvre pour en faire des travailleurs utiles à l'homme. On les prive de leur travail, remplaçons ce manque.
Avec mon bon sens, je pense que je veillerais en priorité à satisfaire les besoins d'exercices (physiques et mentaux) de mon chien problématique. Ce n'est qu'en cas d'échec de cette tentative que je consulterais.